Crise de dette souveraine, faillites bancaires, rendements négatifs, système financier sous perfusion de liquidités, privatisation des profits, mutualisation des pertes… quelqu’un va devoir payer et ce sera vous ! Dans l’éventualité de l’hyper-inflation, de la spoliation de l’épargne… VERKUS vous explique comment protéger votre argent en cas de crise financière.
Formation résilience économique
Apprenez comment réduire votre exposition aux faillites bancaires, limiter l’impact de l’hyper-inflation et sécuriser votre épargne.
Les leçons de la crise des subprimes de 2008 n’ont — en vérité — jamais été tirées. L’essentiel des injections monétaires a servit à sauver les marchés boursiers en permettant — notamment — aux sociétés de racheter leurs propres actions faisant artificiellement croire à une reprise. La FED (dont dépendent les autres banques centrales) est contrainte d’imprimer de la monnaie pour maintenir debout un système financier moribond, et s’est condamnée à maintenir des taux de crédit si bas qu’ils sont devenus négatifs.
À chaque plan d’impression monétaire (quantitative easing ou plus simplement “planche à billets”), les banquiers centraux diluent un peu plus la valeur des monnaies. Bien sur, comme toutes les devises baissent les unes par rapport aux autres, nous ne percevons que les fluctuations et non la perte de valeur. Si le système financier mondial ne s’est pas encore effondré, c’est que les banques centrales disposent d’artifices (titrisation de dette, shadow banking, taux négatifs, QE…) pour “amortir” la chute. Mais l’histoire prouve que la valeur des monnaies fiduciaires retournent toutes à zéro, et qu’au final, c’est le contribuable qui paie l’addition.
La nouvelle crise financière déjà annoncée fera passer celle de 2008 pour une promenade de santé et occasionnera d’énormes dégâts dans le patrimoine des Français.
À venir.
