Les conséquences sur l’économie française du Pass Sanitaire
En 40 ans, nous sommes passés du célèbre aphorisme de Jean Yanne “Il est interdit d’interdire” à “il est obligatoire d’obliger” de notre actuel gouvernement. Nous n’aborderons pas le bien fondé de l’obligation vaccinale qui divise suffisamment la population française, mais des conséquences plus que probables du passe-sanitaire sur notre économie. Que vous soyez pour ou contre l’injection recommandée d’une thérapie génique expérimentale vendue comme seule solution au retour à la vie normale n’y change rien, l’inconfort qu’il pourrait engendrer touchera la nation dans son ensemble.
En effet, dans le nouveau monde plus inclusif que nous promettent les Davocrates où la novlangue sera la langue officielle (comprenez un outil d’inversion des valeurs au service de la destruction intellectuelle, des nations et du libre-arbitre), le passe-sanitaire nous apporterait plus de libertés.
Mais si l’on en juge par la protestation historique contre ce passeport, une grande partie de la population (vaccinée comme non-vaccinée) a comprit que la véritable préoccupation de cet outil n’a rien à voir avec la pandémie ou la bienveillance de nos dirigeants. C’est en vérité un instrument de contrôle au même titre que la carte de membre du PC à l’époque de l’Union soviétique. C’est un document officiel attestant de la conformité — pour ne pas dire allégeance — à l’autorité. Même à imaginer l’obtention d’une couverture vaccinale de 100%, il sera trop tentant pour les élites de maintenir l’existence de ce passe. Rappelons-nous que par le passé, bien d’autres mesures censées temporaires ont été maintenues, comme la CRDS jusqu’à l’extinction de la dette sociale.
Les conséquences économiques du “pass-sanitaire”
Un tel programme impliquera auprès d’un nombre conséquent de personnes la privation de l’accès à l’emploi, aux commerces, aux restaurants et autres lieux d’interactions sociales. Heureusement, superposer les couches bureaucratiques est ce que la France sait faire de mieux. La mise en place d’un passe-sanitaire devrait logiquement créer de nouveaux services au sein de l’état pour suivre et faire respecter les nouvelles règles, ajoutant une nouvelle couche de sédiment administratif aux entreprises. Les inspections régulières s’accompagneront probablement de leur lot de taxes pour financer le système. On imagine dès lors que les contraintes pour les commerces du quotidien seront immenses et plomberont leur rentabilité.
L’augmentation des dépenses nécessaires pour se conformer aux exigences du gouvernement conjuguées à la baisse des bénéfices devraient assez logiquement conduire à une fermeture massive des petites entreprises, incapables de rivaliser avec les grandes entreprises et les grandes surfaces.
Il en résulterait à plus ou moins brève échéance une désintégration complète des PME-PMI et de leur emplois. Avec la disparition de la concurrence, les conglomérats nationaux et internationaux auraient alors le champs libre pour augmenter leur prix tout en diminuant la qualité des biens et des services qu’ils fourniraient. Pour faire simple, ce serait la fin du marché libre tel que nous le connaissons.
La mort du marché libre et la renaissance du marché noir
Encore une fois, l’histoire nous enseigne que les restrictions sur l’économie ont systématiquement encouragé les marchés dits “parallèles”. À chaque fois qu’un diktat autocratique a accentué la pression, il a inspiré la dissidence. Ainsi, plus il y aura de restrictions, plus les gens se retourneront et s’organiseront pour trouver librement d’autres moyens d’obtenir ce qu’ils veulent. Lorsque le marché noir, le troc, les monnaies libres décentralisées serviront une économie souterraine à part entière, c’est là que la véritable tyrannie se révélera. Car en se fournissant mutuellement des services, les gens ouvriront la voie à la survie hors système, et s’il est possible de vivre hors système, de fait la non-vaccination devient possible.
Il faudra donc s’attendre à ce que l’état considère ces pratiques contraires au bien commun et les citoyens cherchant à vivre sans oppression comme criminels.
Pour vous préparez à ces éventualités, nous ne saurions que trop vous conseiller de travailler votre autonomie, d’acquérir des compétences utiles (réparations du quotidien, entretien, petit travaux…), de redevenir producteurs plutôt que simples consommateurs, de disposer d’un stock alimentaire (dont plats déshydratés, rations militaires à longue durée de conservation) et de produits de première nécessité (les premiers à disparaitre en tant de crise) et de moyens d’échanges alternatifs (briquets, bougies, piles, lampes torches, biens tangibles convoitables , matériel de bricolage, outils, métaux précieux… ).
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